Le 21 novembre 2017, Bordeaux s’éveille alors qu’à précisément 08H08, les enfants de l’école maternelle Oussama Ben Laden effectuent paisiblement leur prière vers la Mecque.
Tout est calme et rien ne semble pouvoir perturber ce tableau idyllique, quand soudain, c’est le drame.
C’est alors qu’ils sont désarmés, le cul en l’air en train de prier, que Davina Bensoussan, franco-israélienne Netanyahiste extrémiste, débarque armée d’une knackishnikov et ouvre le feu sur les enfants, les innondant de saucisses gluantes à bas prix.
A partir de là tout s’enchaîne. Les longues saucisses 100 % pur porc qui servent de balles à son arme, pénètrent les saintes fesses innocentes des bambins qui s’enflamment comme des vampires au contact de cette nourriture pas halal du tout.
Sous son chador intégral, Djamilla Mahmoud Abbas n’en croit pas ses yeux, mais n’intervient pas, préférant finir sa prière pour ne pas offenser son dieu.
Au dehors, sur le trottoir d’en face, Germaine Torquemada, une nonne catholique ultra pratiquante de la sacro-sainte église du massacre de la saint Barthélémy, toque blanche sur la tête, est en train de discuter mode et chapelets avec le frère Maurice Flagellax, un moine catholique de la sainte église du massacre de Sabra et Shatila, méga pratiquant lui aussi, leurs regards sont interpellés par les flammes qui s’élèvent à l’intérieur de l’école et les cris des enfants. Ils se doivent d’agir immédiatement.
Dégainant leurs meilleurs chapelets ils entament une série de « je vous salue Marie » ultra rapides pour assurer le salut des âmes de ces petits êtres qui disparaissent à toute allure sous les impacts des saucisses désespérément porcines qui s’abattent sur leurs fesses au rythme effrénée de 600 knacks par minute.
L’honneur est sauf, les enfants meurent à la chaîne mais sans faire le moindre amalgame les collègues bigots sont à pied d’œuvre pour assurer le service après vente sacré.
Dans l’enceinte du bâtiment dont les parois sont maintenant léchées par les flammes dans une forte odeur de dinde halal, Davina Bensoussan arrive à court de chargeurs, fort heureusement elle sait que les enfants et l’équipe pédagogique en ont encore pour plusieurs heures le cul en l’air puisque dans leur prière ils récitent les 286 versets de l’interminable sourate Al-Baqara.
Elle s’installe alors sur un bureau et prend le temps, calmement, de remplir à nouveau de knackis les chargeurs de son arme, imperturbable malgré les flammes qui l’entourent et s’étendent de plus en plus.
Djamilla, toujours occupée à prier, front contre le sol, n’en croit décidément pas ses mirettes.
08H10, Linji Shamballa, un voisin Bouddhiste, est dérangé dans ses méditations par l’odeur délicieuse qui s’élève de l’école. Il extirpe sa conscience de son enveloppe corporelle et déplace son corps astral dans la salle de classe où il découvre Davina affairée à recharger ses saucisses impies. Il y trouve aussi Djamilla entourée des corps calcinés des enfants et se demande pourquoi elle ne fuit pas. Puis il se rend dans les pièces voisines et remarque que d’autres enfants et adultes sont toujours affairés à la prière. Personne ne bouge, tous le cul dressés comme des garages à vélo alors que l’ALLAHrme incendie se déclenche.
Il faut agir vite.
Il se précipite dans le bureau de l’équipe pédagogique et alors qu’il tente de s’emparer du téléphone pour appeler les pompiers, sa main translucide le traverse et il se rappel alors avec frustration que son corps astral ne lui permet ni de se saisir des objets, ni d’être vu ou entendu des autres.
Résigné il se téléporte donc de nouveau dans son enveloppe charnelle et hésite à sortir de sa transe pour aider les enfants.
L’hésitation est grande, ses potes, la boule à zéro, en pyjama orange, l’ont mis au défi de se plonger dans une transe cosmique de plusieurs jours à la suite d’une sainte beuverie.
Abandonner serait se ridiculiser devant les copains, mais aussi une humiliation personnelle dans la mise à l’épreuve de son implacable volonté dépassant les errements du corps et des émotions, ainsi qu’une honte immense à subir sous le regard rieur du bouddha couché en ivoire qui lui fait face dans son petit appartemple personnel.
Se faisant une raison, il décide de se replonger dans la méditation, se disant que quelques mécréants auront forcément senti l’odeur de grillade également et appelleront les pompiers à sa place. A quoi servent les athées, si ce n’est à s’occuper de ce type de gageures bassement matérielles consistant à « sauver des vies » … MAIS GENRE !!!
08H22, Mehdi un jeune homme d’origine maghrébine, non musulman (parce qu’y a pas de raisons) converse avec Abdias, un ami juif séfarade, pas vraiment pratiquant non plus mais quand même un peu par défaut … le genre qui fait trop le ouf en soirée et mange du jambon pour impressionner les putes goyims et faire rougir le tout puissant, mais qui se tient quand même à carreau devant papa maman pendant shabbat.
Bref, ces deux jeunes croisent sœur Germaine Torquemada et frère Maurice Flagellax occupés dans leurs prières frénétiques masturbatoires, suivant leurs regards ils découvrent l’école en feu et sursautent, leur demandant pourquoi ils n’ont pas immédiatement appelé les pompiers.
Les deux culs bénits leurs répondent qu’il y a plus urgent à faire et que de toute façon ils ont fait vœu de pauvreté et n’ont pas de portables, ni de quoi utiliser une cabine. Mehdi se frappe le front et court vers le bâtiment alors qu’Abdias dégaine son iphone X pour appeler les pompiers.
En poussant les battants de l’entrée, Mehdi se prend en pleine gueule le souffle brûlant des flammes infernales, prenant son courage à deux mains il s’élance dans le couloir et découvre de part et d’autres, dans les salles de classe, les jeunes enfants musulman le cul en l’air. Davina est toujours affairée à recharger calmement dans l’une de ces pièces, il se dirige donc sans bruit vers une première autre salle, en ouvre la fenêtre et lance les petits musulmans immobilisés en position prière par la fenêtre, ils atterrissent directement dans les bras de son ami Abdias qui les dépose les uns après les autres sur le trottoir dans le respect de leur croyance, en les orientant parfaitement vers la Mecque grâce à l’application Qibla Finder.
La tâche se complique avec les professeurs et adultes de l’équipe encadrante, mais Mehdi et Abdias donnent tout leur possible alors que les flammes se répandent dans l’édifice.
Davina finit par voir du coin de l’oeil les allez-retour de Mehdi dans le couloir, portant laborieusement dans ses bras des adultes figés en prière qui murmurent des versets du Coran.
Elle charge immédiatement un knack dans sa sulfateuse et se dirige doucement et sournoisement vers son cul alors qu’il s’affaire toujours à jeter les otages par la fenêtre.
08H29. Diane Smith, pompière anglaise protestante coincée du fion conduit le camion des pompiers et refuse d’arriver avant 08H30 précise parce qu’avant l’heure c’est pas l’heure, et après l’heure c’est plus l’heure. Elle n’enclenche aucunement le gyrophare et la sirène, considérant que chaque chose vient en son temps et que si nous laissons tout se faire en ordre, tout sera bien rangé. Elle en profite pour suivre le cours de ses actions en bourse.
08H30, les pompiers sont sur place. Diane fait signe à Albert, son collègue pastafariste, d’aller discuter avec les témoins pour avoir une explication en bonne et due forme de ce qu’il est nécessaire de faire pour résoudre correctement cette situation. Elle lui précise que tous les jugements se valent et qu’il faut qu’il écoute bien tout le monde avant de prendre une décision à la hâte.
Abdias étant occupé à orienter les musulmans en prière vers la Mecque avec exactitude, Albert décide donc d’interroger en premier les catholiques Germaine et Maurice qui sont alors en surchauffe de prières frénétiques et lui demandent de bien vouloir patienter.
Pendant ce temps Davina arrive dans le dos de Mehdi et le met en joue. Mehdi se retourne avec frayeur et lève immédiatement les mains, le canon de la knackishnikov étant irrémédiablement pointé sur ses couilles.
08H32 François Hollande s’exprime à la télévision même s’il n’est plus président de la république. Emmanuel Macron étant trop occupé à jouer à la gameboy, l’ancien président prononce ses vœux de courage à l’ensemble de la nation. « Nous sommes inconsolables pour les victimes et leurs familles, nous espérons qu’il n’y en aura pas beaucoup d’autres … des victimes, pas des familles hein … ».
08H33 BFM TV arrive sur les lieux et interroge de petits juifs du quartier en leur demandant s’ils se sentent coupables de ce qu’a commis l’un des leurs, ainsi que de jeunes weshs à capuche qui ont appris l’islam dans Assassin’s Creed et qui font des quenelles et expliquent que tout ça c’est la faute aux sionistes™, à Charlie Hebdo, aux assassins de Mohamed Merah le martyr et à l’intolérance des français babtou fragiles et que de toute façon, tout ça c’était le destin et qu’il faudrait selon eux exterminer tous les juifs et les mécréants et que les spectacles de Dieudo c’est trop marrant ! Et Matrix et Call Of c’est cool aussi … t’as joué au mode zombie de Black Ops 3 ?
08H34, intervention de Marine Le Pen à la télé qui explique que Florian Philippot a aussi mangé des knackis dans un kebab bougnoule et qu’il a des ancêtres sionistes.
08H35 Jean Luc Mélenchon n’en veut pas à Benoît Hamon d’avoir saboté son élection à la présidentielle et pense que malgré les discours pessimistes de France 2, les mobilisations contre les ordonnances sont une réussite.
08H36 Toujours aucun signe de François Fillon et de l’argent qu’il a récolté pour sa tronche lors de la primaire de la droite.
08H40 Le GIGN arrive sur place. Ses hommes sortent leur chef du fourgon et le déposent en direction de la Mecque car il est occupé à sa prière.
08H41 Le RAID arrive et refuse de poser le camp à coté des troupes du GIGN, que c’est rien que des nuls d’abord et on va pas leur dire comment qu’on va s’y prendre pour entrer dans le bâtiment parce que le GIGN c’est rien que des PDs du cul qui jouent avec les filles à la récréation.
08H45 BHL arrive sur les lieux et donne une interview à BFM TV pour expliquer les nuances entre les milices marxistes infâmes du PKK qui ont fait semblant de sauver les Yézidis au Sinjar pour simplement convertir de nouvelles victimes à la doctrine lobotomisante de l’extrême gauche Stalinienne … et de l’autre coté les merveilleuses milices pro Assad qui œuvrent pour la liberté d’un peuple bafoué dans ses traditions millénaires comme celle de vendre du bois précieux comme feu son père et faire fortune et pouvoir avoir un fils « nouveau philosophe de mes couilles » puis il se fait enfariner et entarter par un Belge.
08H50 Davina n’a toujours pas bougé. Mehdi lève toujours les bras, suant à grosses gouttes alors que le feu et la fumée les entourent. Dans les volutes entourant Davina et venant s’engouffrer par la fenêtre, il lui semble la voir révéler subrepticement sa vraie forme, celle d’un monstrueux Ziz aux ailes de flammes, le dévisageant de son malveillant visage de gargouille au bec crochu.
09H. Sur France Inter Nicolas Sarkozy propose qu’on nettoie toute cette école au karcher, insiste sur le travail exemplaire des forces de l’ordre et accable ces jeunes victimes qui ne prenaient surement pas doubles ration de frites à la cantine et exigeaient des menus personnalisés comme des princesses. Puis il s’offusque des poursuites judiciaires qui le concernent et se demande qui aura le courage d’écrire le prochain « j’accuse » … impliquant tacitement que ça ne sera pas lui.
09H03 Albert attend que le frère Maurice ai fini de bénir l’eau pour pouvoir arroser le bâtiment en feu. Germaine qui n’est pas raciste et qui a un d’ailleurs un très bon ami noir™, se demande néanmoins si les musulmans à l’intérieur ne risquent pas de se multiplier comme des Gremlins au contact de l’eau bénite.
09H05 Davina prend enfin la parole et insulte Mehdi.
« Tu vas mourir, sale bougnoule ».
Mehdi est un peu vexé quand même.
« Hého, je veux bien mourir mais on peut rester courtois quand même ».
09H05 et 20s … Davina est d’accord et lui présente ses excuses.
C’est alors que, surgit de nulle part, Djamilla qui a pris sur elle la décision de risquer le blasphème en interrompant sa prière, se précipite sur Davina et lui arrache son pendentif en forme d’étoile de David™ qu’elle jette au feu.
Davina hurle et fond comme une sorcière, son corps gargouillant de soubresauts sémitiques abominables qui feraient frémir d’horreur les plus vaillants nazis. Au dehors c’est l’incompréhension la plus totale.
François Hollande intervient en direct et commente ce qu’il voit lui même sur BFM TV dont le cadreur à depuis filé la caméra à BHL qui fait un reportage en live pour l’incorporer dans son futur film soutenant l’interventionnisme occidental et la guerre au moyen orient.
« Mes chers compatriotes, c’est horrible ! La paix fragile de notre pays a encore une fois été troublée par un ennemi intérieur formé dans nos écoles, sur notre territoire et qui nous déteste sans que nous ne sachions pourquoi vu que nous sommes gentils.
Un ennemi qui n’a pas de nom, qui n’a pas de visage, cet ennemi, c’est le monde de la finance. Il a pris aujourd’hui les traits d’un doppelgänger judaïque, mais qui sait sous quelle forme il pourrait revenir dans un futur proche pour déstabiliser l’union nationale de notre belle patrie unie sous les principes du respect sans amalgames de la croyance de chacun.
En ce jour sombre, nous tenons à dire à tous nos compatriotes, tous nos amis, qu’ils sont libre de croire dans les conneries qu’ils veulent, que la france est un beau pays prés à accueillir toutes les croyances les plus débiles et rétrogrades, y compris le droit de croire qu’il faut tuer les gens qui ne croient pas pareil que soi, car c’est cela aussi, la liberté d’expression et la liberté de culte.
Chacun doit pouvoir, pour des raisons politiques, religieuses, économiques, sexistes ou raciste, détester et souhaiter la mort de son prochain comme il l’entend, dans le respect de la haine que chacun porte à l’autre. Respectons le droit au mépris et à la haine la plus totale et meurtrière. Le droit d’appeler au meurtre sur des critères arbitraires comme une grosse chiasse humaine et cela sur l’ensemble des réseaux sociaux, car tous ensemble, sans amalgames aucun, nous formerons la france de demain … une france libre, où chacun … et c’est son droit le plus intime, peut aller vers l’autre, et lui trancher la gorge en lui disant comme Florent Pagny croisé au slogan du Nutella « telle est ma liberté de penser et de me dépenser » … mes chers con-citoyens … Ivre la république, et Ivre la france, ALLELUYAKBAR !!! ».