On le sait bien, le milieu du spectacle est gangrené par le lobby siono pédophile gays.
Mais jamais au grand jamais cette secte n’avait osé sortir au grand jour.
Profitant des 1480 spectacles du festival off d’Avignon et du silence des merdias, une nouvelle génération de Cabaret est née. Elle prône la libération de la femme et l’amour libre, insulte l’Église et l’ordre naturel des choses.
Un papa une maman.
Bienvenu dans l’enfer de la théorie du genre. En effet dès les premières minutes un homme,aux allures sémito népalaise, enfile une robe de mariée. Aucun doute c’est bien de la propagande puante à la solde du grand Israël.. S’en suit une série de gémissements sur une société patriarcale fantasmée. Dans laquelle, la sexualité féminine serait menacée alors qu’on imagine des hommes tomber enceints. Cette scène pour le moins chocante serait un miracle provenant d’un miracle de la nouvelle Papesse.
Vous avez bien lu!
C’est un Pape féminin qui accomplit un « miracle ».
Toute cette scène est une prière à Satan et l’avènement de l’antéchrist qui selon la Kabbale sera enfanté par un homme. Le publique réagit pour le moins étrangement, sans doute à cause des Chemtrails observés tout au long de la journée.
Et c’est le cerveau plein de fluor que les spectateurs participent à cette messe noire et rose. Or coïncidence, diront les sceptiques et les Trolls payés par les gouvernements sionistes, l’ovnipresence du chiffre 6:
- 6 néons sur scène
- 3 hommes=> 3 paires de couilles => 6 couilles
- Le tout dans une salle de 116 places.
6 néons 6 couilles 116 places.
Le message est clair.
Le show se finit et les spectateurs en transe envahissent la scène, guidés par leurs sombres hôtes, tous habillés en noir. Tandis retenti la musique de David Bowie, parti sur Nirubi, et de l’actrice porno Catherine Ringer. Zombifiés certains spectateurs restent cependant encore introuvables à ce jour.