Salut les tarba, c’est Alanis Laros, c’est pas Halloween (sauf si tu lis ça le jour d’Halloween) et pour l’occasion je vais te raconter une histoire pas piquée des hannetons qui est arrivée à un sacrément bon ami. Du coup comme d’hab il se peut bien que ce soit vrai puisqu’à part quand il a un coup dans l’pif ou qu’il parle de la taille de sa bite, il lui arrive rarement de mentir. C’est même plutôt le genre de mec fiable … pas comme les politiciens KRKRKRKRKRKR JPP XD.
Bref, là t’as déjà tout l’monde qui a zappé, qui est passé à autre chose, on est donc en comité réduit, je vais pouvoir vous parler de la malédiction du Menehune™.
Le département de la police d’Hawaï reçoit un appel de détresse, je sais plus trop quel jour et on s’en branle. Une petite voix nasillarde chouine dans le combiné dans une langue incompréhensible, jamais entendue de l’homme. Que cela peut-il être t’il donc ?
La chose alterne entre cris plaintifs, pleurnicheries pures et simples, et cris de colère.
L’agent de police Hawaïen avec un collier de fleurs n’y comprend rien, il demande avec un gros accent à la personne de bien vouloir expliquer son problème … pour toute réponse la petite voix se met à fredonner l’hymne américain™, puis hurle sauvagement avant de péter™ longuement dans le combiné et de raccrocher.
L’agent de police Hawaïen dénué de nom est terrifié, c’est à n’y rien comprendre. Mais grâce à ses collègues qui ont des techniques de géolocalisation super sophistiquées (parce qu’en fait il avait trop capté qu’il fallait qu’ils triangulent l’appel 
et il leur avait dit en fait) il arrive à déterminer la zone de l’appel … bon comme dans les films il détermine ça vaguement pour permettre plus de suspense.
En gros c’est en plein milieu de la cambrousse, à un endroit où y a pas d’habitations.
Le policier du PD d’Hawaï n’y comprend rien … et il a raison, car c’est effectivement à n’y rien comprendre.
Du coup ben il prend sa jeep et il y va, et là … STUPEUR, un mec avec des lunettes noires™ l’arrête !!! LES #MEN-IN-BLACK se dit-il immédiatement, avant de capter qu’il s’agit juste d’une prod américaine continentale blancos à la con en train de tourner une émission. Tout un fatras de bagnoles est garé à la sauvage et sans autorisations sur une zone protégée, les mecs bivouaquent en pissant, chiant et jetant leurs ordures dans les fougères, et au milieu de la horde sauvage se trouve une belle palanquée de crétins dont il connaît les gueules et qui savourent des #big-macs à la table régie … les FDP de « finding big foot ».
Bon alors j’me suis dis que j’avais pas besoin d’écrire des scènes porn dans chacune de mes histoires, en vrai ils font rien de particulier avec leurs parties génitales les mecs de l’équipe, mais bon, j’avais quand même envie d’écrire un paragraphe porno même s’il n’est pas compris dans la diégèse, alors même si c’est faux, voilà.
Matt Moneymaker est en train de se faire pé-pom grave par Ranae Holland, fion tendu à Bobo le cancéreux, les yeux vitreux perdus dans le vide, bavant mollement en poussant des râles de yack pendant que Cliff Barackman se masturbe peinard au dessus de la carafe à kawa pour spermer dedans sa crème personnelle.
Bon voilà, c’était le petit paragraphe de cul.
DONC, le flic se ramène et leur dit « hého mais c’est une zone protégée ici, vous avez votre autorisation ? »
Matt s’avance vers le keuf et lui fait un doigt « No, we are americans, fuck the world » (je fais genre ils parlent pas la même langue alors qu’Hawaï c’est un état américain … mais ça fait plus ambiance).
Le flic, quelque peu contrarié, sent alors l’esprit de ses ancêtres bon sauvages préhistoriques (sa grand-mère et son grand-père quoi) lui donner leur puissance shamanique magique.
« Si vous continuez à chier des bigmacs dans la plaine, le menehune va venir vous remettre vos étrons dans le cul ».
C’est alors qu’il comprend, grâce à la magie ancestrale de ses ancêtres, que c’est bien le MENEHUNE™ qui a dû lui passer le coup de fil tout à l’heure, il en a maintenant l’intime conviction.
Les menehunes en gros c’est une sorte de race de lutins merdiques, version zoulou des îles quoi. Grosso merdo, tu prend Sarkozy, tu le fous à oilpé, tu lui mets un pagne et tu le forces à faire un peu de gonflette, et voilà, t’as un menehune.
Ces créatures de chiasse, même les Hawaïens savent bien qu’elles existent pas vraiment. Sur leur île de merde où ils passent leur temps à se masturber et éjaculer dans l’océan en matant leurs vahinés bonasses à gros cul se remuer la schneck sur 
le sable, ben manquait un truc quoi, une petite légende de merde, et comme inventer une sorte d’homme lézard ultra violent dévorant les mouflets, un requin de 30m rodant dans une lagune ou un chewbacca ignifugé hurlant au sommet d’un volcan, ben c’était trop flippant et ça risquait de nuire au tourisme … ils ont préféré inventer des sortes de pygmée mignons, déclinables en joujoux et en dessins animés pour faire jaser et avoir leurs petites légendes à chier.
Bref, faut être con pour croire au menehune, et ce faisant, comme il vient lui meme de se mettre à y croire, le flic réalise qu’il est donc un gros con.
A sa malédiction, Matt Moneymaker s’esclaffe « Come on, now that’s the spirit … THIS MEC NOUS MAUDIT EN NOUS DISANT QUE MENEHUNE VA VENIW NOUS METTWE NOS ETWONS DANS LE CUL … BAH GREAT, ON DEMANDE QUE çA DE LE FILMER TON MENEHUNE, MEME SI ON SAIT QU’IL EXISTE PAS ET QU’IL VA PAS VENIW, ALOWS COMME D’HAB ON VA MEUBLER NOTWE EMISSION FINDING BIGFOOT AVEC DES PLANS DE BOBO QUI BWEDOUILLE (tant qu’il n’a pas été tué paw son cancew) , NOUS EN TWAIN DE CWIER DANS LA FOWET, ET DE TAPER SUR LES AWBES AVEC DES BATONS ! ET DES TEMOIGNAGES DE GOGOLITOS, PAYéS A DIWE DES CONNEWIES ! HA HA HA HA ! I LOVE EASY MONEYMAKING !!! »
Le flic du PD (police department) laisse entrevoir une mou désobligée, il agite son doigt furieusement puis remonte dans sa bagnole et s’en va.
La nuit tombe le flic se masturbe devant playboy dans son bureau au commissariat quand il reçoit un nouvel appel, étrange. D’insondables bruits de pets gargantuesques se mêlent à des râles d’agonie américains et des petites ricanements diaboliques inhumains.
Matt arrive au combiné : « HO NO ! YOU WERE RIGHT, MENEHUNE IS REAL !!! HE’S SODOMISING US ALL WITH OUR OWN CRAPS, HE HAS SET THEM IN LITTLE BAGS WITH OUR NAMES ON IT AND HE’S SLIDING EVERY SINGLE ONE OF THEM BACK IN THEIR RESPECTIVE HOLES !!! I CAN’T STAND IT ANYMORE MISTER PD !!! DO SOMETHING !!! AAAAAARGH !!! HERE IS ANOTHER ONE !!! HAAAAAAAA !!! IT’S COMING UP MY ASS 
HAAAAAAAAAAAA !!! IT SMELLS SO BAD !!! HAAA IT HURTS MY BUTTOCKS !!! HAAAAAA I’M SUCH A FRICK’IN MORON !!! I SHOULD HAVE FILMED IT TO MAKE ANOTHER SHITTY TV SHOW TO MAKE MONEY WITH CRAP … REAL CRAP I MEAN. AAAAAAAAAAAGH !!! Bye ! »
Sur ces mots, le téléphone raccroche et le flic du département de la police d’Hawai comprend qu’il n’avait pas à s’en faire et que des américains qui tournent des émissions de merde dans des lieux sacré et interdit aux blancs, finissent toujours par se prendre leurs propres gros étrons dans l’cul.
Et c’est ça la morale de l’histoire.
Allez vous faire enMENEHUNer.
