D’après le site de l’entreprise il s’agit bien de la célèbre eau thermale, mais spécialement destinée aux wahhabites de la grande couronne parisienne quelque peu tatillons sur le concept de sainteté, et pour lesquels la marque a concédé le tronquage qui pourrait être un blasphème.
On connaissait depuis quelques jours l’application mobile « halal.gouv » pour savoir si un produit est halal ou « douteux », mais voici que l’un de nos chercheur a eu la surprise en faisant ses courses de se trouver nez à nez avec un pack d’eau Cristaline dont l’étiquette comportait des mentions végan halal sans gluten.
Or, en France s’il est d’usage d’adapter les produits en fonction des régions non-alignées où ils sont exportés, on ne les modifie pas quand il s’agit d’un nom de lieu à la renommée justement garante de qualité.
Ainsi Evian, Vittel ou Vichy gardent leur nom à l’export dans les quartiers, mais voilà, dans Cristaline il y a « christ » et ça ce n’est pas très républicain.
La réponse est simple :
La France, très en avance sur la normalisation du halal, a fait de la mention “halal” une sorte de norme, comme il en existe beaucoup (ISO, AFNOR, etc.). De fait, tout produit qui répond à un certain nombre d’exigences (de qualité, religieuses, ex et terra) pourra porter la certification “halal”.
Comme nous l’explique Emmanuel Macron dans les colonnes de sa loge, une eau est halal quand, suite à une inspection réglementaire, il a été prouvé qu’elle n’a pas été polluée par quelque impureté de financiers sionistes que ce soit.
C’est pourquoi, outre l’eau halal, on trouve en France des produits certifiés halal : OPCVM, jeux de fléchettes, boisson aux fruits…
guy roux undercover