Coup de tonnerre dans le landerneau historique. De récentes recherches dressent un tableau bien sombre de Jeanne d’Arc.
On sait bien comment l’histoire est manipulée par les sinistres lobby pour faire croire au peuple ce qu’il veut croire. Un « mythe » était toujours passé inaperçu des Chercheurs de Vérité. La voici pour vous en exclusivité.
- La « pucelle » reconnaît le Roi
L’histoire nous raconte une belle fable, celle d’une jeune femme partie de rien qui aurait reconnu le roi au milieu d’une foule.
Marie d’Anjou. Berk. Berk berk berk.
En réalité, elle ne pouvait que le reconnaître. Elle était fan de lui et savait parfaitement sa description physiques, et notamment la forme de son nez, quelque peu judaïque.
Elle le « reconnaît », tout le monde est éblouit par la jeune fille qui semble être envoyée par Dieu lui-même, et Charles VII a tôt fait de l’entrainer dans son lit, comme nous le verrons plus tard. Il faut dire que son épouse, Marie d’Anjou, est un sacré tromblon, et que n’importe qui préfèrerait s’envoyer une chèvre plutôt que de coucher avec elle. Et pourtant Charles VII se forcera à lui faire une pelletée de gosses. On peut saluer son courage héroïque. Mais qui pourrais lui en vouloir de craquer sur une petite blonde, vierge qui plus est, qui a envers lui un comportement de groupie?
Comme il est intelligent, il va également se servir de sa groupie, pas très futfute au demorant, pour reconquérir à peu de frais les terres que lui et ses aïeuls ont lamentablement perdu contre le roi d’Angleterre.
- La « pucelle » (qui ne l’est plus) devient soldate
Une pause bien lascive pour une femme soit-disant vierge!
Jeanne va donc prendre la tête des armées de Charles VII contre les Anglais, aidé en cela… Tiens tiens… par Gilles de Raie, le fameux violeur et tueur en série! Charles VII ne regarde pas dans le détail ceux qui sont sensés porter sa bannière. Certains ont dit(1) que Jeanne aurait également couché avec Gilles. Nous ne sommes de notre part pas en mesure de l’affirmer.
L’histoire, vous la connaissez : elle libère Orléans, Paris, Nogent le Rotrou, etc. Nos propres recherches confirment qu’elle était bien dans l’armée à ce moment là. De là à affirmer que de valeureux chevaliers aient acceptés d’obéir à une gonzesse, nous restons septiques.
Enfin. Jeanne libère des villes, tout ça, mais c’est sur la suite que nous ne sommes pas d’accord du tout.
- Un bûcher? Quel bûcher?
Super crédible…
L’histoire nous raconte ensuite qu’elle aurait été attrapée par les Anglais, qui lui auraient demandé de redevenir une femme et de ne pas céder à la tentation du « gender » (genederum en latin). Elle aurait accepté un temps, puis se serait ravisée et aurait à nouveau voulu porter des habits d’homme. Là dessus, les Anglais, qui ne voulaient pas céder à cette nouvelle mode, l’aurait tout simplement brûlée.
Sauf que. Tout d’abord, regardons le contexte du « bûcher ». Il aurait eu lieu à Rouen alors que tout le monde sait bien (il suffit de faire ses propres recherches) que Rouen, assiégée par les Anglais depuis des décennies, souffrait d’une pénurie d’à peu près tout, et notamment… de bois!
Ensuite, quel est l’intêret d’inventer un bûcher? Tout simplement, un bûcher est une excellente façon de faire disparaître un corps… ou de faire croire à sa disparition! Jeanne brûlée (ou soit-disant), elle pouvait reparaître à la cour… Sous une nouvelle identité.
- Jeanne-Agnès, ou de la vertu à la putain du Roi
Une ressemblance flagrante entre Jeanne et « Agnès ».
C’est à peu près à ce moment que Charles VII, redevenu un roi convenable, se trouve une maîtresse, soit disant « Agnès Sorel », qui deviendra la première maîtresse officielle d’un roi.
Mais qui est cette Agnès Sorel? A part dans la propagande de sites orientés comme wikipédia, nous ne savons pas grand chose d’elle, à part qu’elle était bien la maîtresse du roi et qu’elle est enterrée à Loches.
Mespropresrecherche est désormais en mesure d’affirmer que Jeanne d’Arc n’est pas morte sur le bûcher mais qu’elle a pris sa « retraite militaire » pour devenir tranquillement la maîtresse du roi sous un pseudonyme. Nous tenons les preuves à votre disposition.
Jeanne passe d’un registre positif (la jeune fille vierge qui libère la France) à un registre négatif (la maîtresse du roi qui est entourée de petits diables rouges). Mais peu lui importe. Elle a fait cela comme une groupie de Charles VII et a ensuite l’honneur de devenir sa maîtresse officielle, la première de l’histoire, et pour cause! Charles VII lui devait bien cela après avoir pu compter sur elle pour mener les combats à sa place… Encore une affaire de genre, on vous dit… Heureusement, les choses sont rentrées dans l’ordre. Charles VII a enfin régner sur son royaume et Jeanne est devenue Agnès, une femme tout en sensualité et en douceur, ce que l’on attend des femmes.
