Coup de tonnerre dans le landerneau patriote, le torchon brûle dans les hautes sphères du Front National depuis que bon nombre de cadres, Louis ALLIOT en premier chef, ont été victime d’un malentendu occasionné par une bourde retentissante de la rédaction de Mes Propres Recherche.
En effet, le collectif de chercheurs indépendant a annoncé hier soir le décès de Jean-Marie LEPENNE alors que celui-ci n’aura lieu que la semaine prochaine.
GENESE D’UNE RUMEUR
La nouvelle aussitôt diffusé sur les canaux d’information dissidentes, les Iznogouds du premier parti de France se sont positionnés afin de revendiquer la place encore chaude de l’ancien patriarche.
Tandis que dans les ghettos de Forbach, la racaille remplaciste mettait le feu à des drapeaux français et à des portraits géants de celui que les intimes surnommaient avec tendresse Jimmy Le Borgne, l’ambiance était beaucoup plus joyeuse dans nos riantes terres méridionales qui font le charme pittoresque et la renommée touristique de la France éternelle.
Ainsi, Louis ALLIOT hier soir a réservé la grande salle du CANARD BOITEUX, le club branché de Auch pour y convier amis, alliés et collègues.
Au menu, accordéon, ripailles, danses et débats sans fin sur le futur de la République.
LA BACCHANALE DES BEBES FAFS
David RACHLINE avait ramené Alexandre GABRIAC, Marion MARECHALLEPEN quelques caisses de ce vin que l’on boit en Arbois et Maître COLLARD ses couperoses.
Au cas où, Manuel VALLS avait ramené des chouquettes.
L’apothéose de cette soirée fellinienne fut aussi le début de sa débacle. Quand le DJ lança le tube de circonstance « Ding Dong the Witch is dead », les convives déchaînés se mirent à danser sur le corps encore chaud du Père Fondateur. Alors que Maître COLLARD entamait un pas de deux survolté sur le ventre du cadavre putatif, il advint que celui-ci émit un rot sonore aux senteurs d’ail
Lorsque Jean-Marie, ouvrant les yeux, se redressa sur son séant, vint le moment des explications.
LA DOUCHE FROIDE
Alexandre GABRIAC et Marion MARECHAL se rhabillèrent aussitôt. Quelques anonymes épongeaient, gênés, leur crânes rasés de frais.
A cette heure, Louis ALLIOT cuvant encore son vin, nous n’avons pu obtenir de réactions. Nous l’interrogerons ASAP