SCANDALE.
C’est en ce 10 octobre 2017 que l’équipe de rédaction de MPR reçoit soudain une notif FB de la plus grande importance. Dieudonné M’Bali Balo (au cinéma) vient en effet … à je ne sais plus trop quelle heure (et je m’en fous) … de partager notre article faisant suite à l’annonce mensongère de la mort de Jean Rochefort !
Nous n’en sommes pas certains mais il nous semble avoir décelé une forme d’ironie dans les propos du maître du journalisme d’investigation que l’on imagine à présent occupé à chercher où placer notre logo sur une arborescence géante indiquant les connivences entre groupuscules secrets internationaux formant le nouvel ordre mondial. Celui la même décrit par son très bon ami Nord Coréen : Alain Soral.
Nous ne pouvons que saluer le talent de déduction de l’artiste qui, par on ne sait trop quels indices subtiles que nous aurions laissé derrière nous comme autant de petits merdouilles involontaires, aura su, dans une inspiration assez remarquable à la Sherlock, sentir avec justesse que nous sommes une bande de « geois-bour » franc-maçons.
Néanmoins quelque chose nous échappe dans les traits d’humour subtiles qui agrémentent son jugement terrible comme les pieds de Damoclès tombant sur nos face potelées.
En effet, dans une tentative de nous désarçonner, il balance dans un premier temps que notre site pue … sachez que depuis toujours nous consacrons une énorme partie de notre budget à l’hygiène de cette page et qu’à priori, si vous sentez des odeurs douteuses en consultant le site, ce n’est pas de notre faute.
Il se peut, cependant, que notre homme d’entretien se laisse un petit peu aller et nous remercions le champion du prolétariat Dieudo, de nous avoir signalé ce manquement de sa part qui nous vaudra de le faire virer comme de la piétaille interchangeable. Ne pleurez pas trop, il pourra toujours aller récurer les gogs du théâtre de la main d’or où il se trouvera sans doute une main secourable.
La seconde accusation porte sur nos âges supposés puisque Dieudo en personne nous traite à demi-mots d’enfants !!!
Il nous accuse en effet d’être des « fils de … » ….. pourquoi ? Nous n’en savons rien.
Nous apprécions par contre qu’il salue notre franchise et les maçons parmi nous. C’est pas tous les jours qu’on voit ses qualités et son métier salué à sa juste valeur.
Ceci étant dit, revenons sur Quenelle+ et Dieudo …
Dieudo l’homme, Dieudo la légende.
Tout d’abord, s’il lit ces quelques lignes, nous souhaitons lui dire merci, lui témoigner toutes notre sympathie et nous rappeler au bon souvenir de ses sketchs désopilants avec Elie Semoun, haaa que de poilades en VHS, Et l’ami Dubosc dans tout ça !!! Haha ! Que de flagorneries, que de bilevesées !
Ce qu’ignorent néanmoins la majorité des fans de l’artiste, c’est son implication dans la fortune de Bernard Tapie en centrafrique … le pays d’Afrique dont on ne sait trop quel colon fainéant à décidé de l’appeler avec si peu d’inventivité.
Le gros de l’action se déroule à la fin des années 70. A cette époque Dieudo, pas encore humoriste, est un jeune lion entrepreneur au service de l’homme d’affaire Bernard Tapie. Ce dernier, impliqué dans les magouilles de l’affaire Bokassa, fait secrètement fortune sur les réserves de mines de diamants en partenariat avec des mafias locales esclavagisant les enfants des Aka, une tribu de pygmées dont les enfants de format réduit se révèlent répidement bien pratiques puisqu’ils passent particulièrement bien dans les conduits pour aller rechercher les pierres précieuses, mais peuvent aussi servir de casse croûte d’urgence pour leurs tortionnaires puisqu’ils tiennent dans la poche comme des twix.
Dieudo, qui sert de garde du corps et de garçon de course à Nanard dans ses transactions avec le président en exercice Valéry Giscard d’Estaing, rencontre vite l’homme de main de ce dernier, un certain Michel Leeb, jeune et fringuant, qui se forme alors, en guise de hobbie, à sa passion futur : L’HUMOUR FRANCO-FRENCH.
C’est autour de ces valises pleines de brouzoufs que se lie, non seulement une amitié franche (et maçonne), mais aussi un amour sans borne, une passion sans commune mesure.
Un soir les deux gardes s’éclipsent et se retrouvent dans un motel plein de putes, le vin à la drogue coule à flots sur les jambes de femmes prostituées que les deux hommes perforent à grands coups de déhanchés sensuels. Les fesses généreuses claquent sous la vigueur de leurs paumes sauvages de jeunes loups de la france au service secret de la patrie, quand dans un effleurement, alors qu’ils levrettent fougueusement cote à cote, leurs doigts se touchent.
Coup de tonnerre, les regards se lient, et bientôt se sont leurs langues qui se mèlent, larguant leurs Cunégondes et s’empoignant rageusement l’un l’autre pour s’entre dévorer le pénor et s’entre-brosser les quenottes avec leurs baveuses.
Le sabre turgescent au clair, Michel propose à Dieudo de lui vaporiser les lunettes avec son foutre, MAIS SE TROMPE ! Dieudo lâche alors « ce ne sont pas mes lunettes, ce sont mes narines », réplique qui deviendra bientôt culte dans le répertoire de monsieur Leeb.
Dieudo n’est pas non plus en reste à cette époque, contrairement à une rumeur qui voudrait que la star de l’humour ai succombé à l’essentialisme mongoloïd et au nazisme en se réfugiant dans les bras de trolls des médias suite au matraquage médiatique contre sa personne par une ribambelles de trisomiques du PAF, Dieudo se voit contaminé par le fascisme dés cette époque, en suivant Michel dans ses bars SM fétiches.
Ces lieux interlopes où les effigies d’Hitler et les drapeaux nazis ornes les murs de loges secrètes où, de satin vétu, nos deux adonis s’envoient en l’air avec des cohortes de suprémacistes français Gaulistes et de prostituées pygmées (qui peuvent aussi servir de casse-croute d’urgence vu qu’elles tiennent dans la poche comme des twix).
Ils y ouvrent des cabarets érotiques où l’on s’encule sur scène en singeant les noirs comme des singes. S’y déroulent aussi les premières moutures du « passant qui passe » de Michel dans lequel un chimpanzé déguisé en homme noir est parfois véritablement monté sur scène en remplacement d’un comédien entre deux scènes, afin de déclencher l’hilarité de Valéry Giscard et de Nanard présents occasionnellement et qui goutent particulièrement l’humour simiesque, surtout quand il est question de traiter les noirs de untermenschen.
Dans ce cabaret porninfernal qui nous rappel les heures les plus sombres de notre histoire, Dieudo pratique déjà la quenelle au sens propre, fistant Michel sur scène et fistant divers nabots pygmée qu’il lance ensuite à la foule (en guise de casse-croute encore), mais toute cette bonne humeur n’est que de courte durée.
Quand l’affaire Bokassa éclate, Dieudo et Michel rentrent en catimini du pays en envisageant de former un duo comique pour vivre enfin au grand jour de leur passion du rire. Ce projet qui aurait pu préfigurer le phénomène « Charlie et Lulu » est malheureusement contrarié par un évènement tragique. Une conquète d’un soir refusera la pénétration à Dieudo en réclamant qu’il procède à un dépistage avant de faire quoi que ce soit. A cette époque on ne parle encore que vaguement du péril du sida … mais Dieudo se renseigne, fait les tests et découvre bientôt qu’il est séropositif.
Michel lui avouera par la suite qu’il est le patient 0 du sida, le porteur humain originel envoyé par le Mossad en centrafrique pour participer à la mission OEIL DU DIABLE dirigée par le capitaine Henry de Lesquen envoyant ses hommes copuler avec des singes pour choper le virus, puis le transmettre à des individus qu’il qualifie de « congoïds » afin que ces derniers ne copulent avec d’autres noirs et que de manière exponentielle, le sida ne contamine toute l’afrique noire et fasse basculer les rapports de force en jeu dans l’apartheid entre les noirs et les blancs, au profit de ces derniers.
L’objet est aussi de propager une maladie capable de rendre dépendante une population et un continent entiers aux produits pharmaceutiques créés par les laboratoires Garnier, qui a l’époque, injectent leurs merdes directement dans les veines de leurs cobayes et ne se rendront compte que des années plus tard que leurs créations marchent mieux en tant que shampoing.
Pour Dieudo, c’est le drame !
Il ne s’en remettra pas, et pour contrarier Michel le nazi, il ira fricoter immédiatement avec « un sioniste »™ … c’est ainsi que démarre la carrière de l’homme que l’on connaît tous et apprécie. Une carrière qui l’éloignera un temps du nazisme, par l’amour qu’un petit homme aux doigts griffus pourra lui porter pendant quelques décennies, puis le tirant de nouveau vers le fascisme débridé quand une sorte de fils incompétent d’une famille bourgeoise (donc franc maçonne) … monsieur Alain de truc bidule là, autre humoriste sado-maso, espion pour le compte de l’illuminati Patrice Drevet, lui fera découvrir « comprendre l’empire » … un étrange essai de SF étudiant Star Wars.
Puis voilà quoi … comment on peut faire la promo a ses chiasses sinon ?
Ha oui, pensez Ananassurance quoi … LOL !
Chapeau l’artiste !