Coup de tonnerre dans le landerneau médiatique, David PUJADAS dit tout.
Je n’en pouvez plus. Depuis l’élection de Trumpe, ça devient lourd à porter.
on voit son téton
Confirmant l’adage du rechercheur en chef Alain Soral selon lequel tout journaliste et soit une putte, soit un chômeur, David PUJADAS vient de sortir un livre retentissant sobrement intitulé « Un journaliste ne devrait pas dire ça » dans lequel il se confie et se confesse.
« C’est vrai que pour réussir dans le monde du spectacle, il faut être juif ou homosexuel pour réussir. Ce n’est pas mon cas. C’est à la sueur de mon poignet que j’y suis parvenu et je n’ai pas à en rougir. Je n’ai pas honte de mon travail, mais je dois avouer que mon métier me fait honte. »
On se demande quelle est la raison de ce nervous breakdown aussi improbable que prévisible.
« L’élection de Donald TRUMP a été l’éléments déclencheur. Je le savais. Et je n’avais pas le droit de le dire. Vous savez quand on est journalistes, on est informés. Nous avions des chiffres très précis sur les rapport qu’entretiennent les gens aux médias. Il ne faut pas avoir fait Math Sup pour comprendre que les gens sont majoritairement cons, et que donc, c’est mathématique, ils allaient voter TRUMP »
C’est sur le canapé rouge de Soral, sur lequel David Pujadas a eu la révélation après s’être entretenu avec le maître du Logos. On remarquera la présence d’un hologramme d’Hillary Clinton, derrière, avec un petit haut jaune.
MPR qui a pu rencontrer le playmobil du PAF a vivement réagi à ce jugement moral et hautain. Quelle ne fut pas notre surprise de voir Mr PUJADAS modérer aussitôt son propos.
« Ecoutait, loin de moi l’idée de faire des démocrates des champions de l’intelligence. Ca reste des militants et des électeurs. Mais voyez-vous, les gens ont tellement besoin de se prouver qu’ils ne sont pas des moutons qu’ils sont prêts à n’importe quelle connerie pour ça. Excusez-moi de m’emporter ».
MPR a fini par concéder une certaine justesse dans les propos du journaliste-pute.
« Comment garder sont calme lorsque on invoque le chômage et la misère pour justifier le vote en faveur d’un milliardaire spécialisé dans la liquidation d’entreprise ? »
La rédaction de MES PROPRES RECHERCHE se posent encore la question.
la dissidence, d’abord une histoire de potes…
Nous apportons tout notre soutien au journaliste fraîchement limogé. Nous ne doutons pas toutefois que depuis Limoges, il pourra désormais se faire une place au soleil dans le bizness rentable de la dissidance.
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