Bonjour les filles, vous avez été nombreus-e-s à A-DO-RER le blog d’Emma, dessinatrice E-XCE-LLENTE qui a pointé-e-s avec justesse le concept jusqu’alors méconnu de la « charge mentale » … vous savez, ce « petit problème » qui nous accable tout-e-s, surtout pour celles d’entre nou-e-s qui ont le « malheur » de posséder-e-s un mari-e-s « blanc hétéro cisgenre » oppresseur-e-s qui s’ignore-e-s. Il croit bien faire ? Et bien non ! Il n’en fait pas assez. A l’heure qu’il est 130% des femmes continuent à devoir assumer accoucher, regarder leurs séries avec leurs propres yeux, demander à ce qu’on leur passe le sel au lieu que celui-ci leur soit tendu par leur mari simplement quand elles y pensent et jusqu’à 7000% de femmes ont encore le déplaisir de constater que quand elles jouent les galériennes de l’aspirateur en pleurant silencieusement sans demander la moindre aide à qui que ce soit …… personne ne vient les aider à faire le ménage.
Haaaa les hommes-e-s ! On ne peut pas vivre sans eux tout comme on ne peut pas vivre avec eux ! Dans ce monde sans pitié une amazone des temps merdernes à tenu-e-s à nous offrir son témoignage, elle qui a su rebondir comme une balle de basket lancé-e-s avec force dans les burnes d’un mâle hétéro cisgenre laid, bête, pauvre et incapable d’empathie (les pires … même si dans le fond ils sont tous un peu « pire »).
Voici donc le témoignage de Nathalie, une jeune-e-s femme opprimé-e-s dont le mari, véritable feignasse-e-s n’en branlait strictement pas une jusqu’à ce que France Info ne souffle un vent nouveau sur le féminisme haut de gamme.
UNE VIE BRISéE PAR L’OBLIGATION DE PENSER:
« Depuis l’aube des temps je suis extrèmement sensible à la pensée. Chaque fois que je pense il me faut prendre du spasfon pour faire passer les courbatures cérébrales que je me tape. Je ne supportais déjà pas cet état de fait quand j’étais seul, alors quand je me suis marié-e-s les choses ont évidemment très rapidement tourné-e-s au nightmare !
Mon mari, dénué de toute pensé-e-s me forçait à redoubler d’efforts et à penser à sa place. Tous les jours iel rentrait du travail et se foutait les pieds sous la table en braillant FEMME, NOURRI-e-s MOI-e-s !!! Je n’en pouvais plus, j’avais déjà passé-e-s toute la journée à réfléchir et voir ce gros con demander de la graille était une charge mentale absolument accablante-s. Un beau jour, n’en pouvant plus, je lui ai donc suggéré-e-s de se faire des tartines … cette idée m’a valu une boite de spasfon entière, mais force est d’avouer qu’en utilisant ainsi ma voix pour induire dans son absence de pensé-e-s une idée, cela fut efficace, et tel un mort vivant il s’exécuta, tartinant si mal qu’en le voyant faire je fus prise d’une crise de charge mentale en me disant qu’il n’y avait décidément pas moyen de laisser faire les hommes !
Ce jour là je lui pris la tartine des mains et la fit à sa place !!! Grave erreur ! On ne m’y repris point !
Sur la base de cette première expérience et après quelques boites de spasfon, je pris l’initiative le lendemain de lui demander si nous pouvions diviser-e-s les tâches-e-s ménagère-e-s au domicile-e-s, et cela malgré ma propension en tant que femme, à ne pas me sentir autorisé-e-s à suggérer une telle entreprise du fait d’un conditionnement genré oppressif me maintenant malgré moi dans un état de servitude contre lequel il me fallu lutter sans pitié et avec un courage m’ayant auto-impressionné-e-s pour oser lui en parler … il a dit OUI ».
Que s’est-t-il passé-e-s ensuite-e-s ?
« Mon mari-e-s a commencé-e-s à s’occuper-e-s de la vaisselle-e-s et de descendre les poubelles-e-s, il passait parfois un coup d’aspirateur-e-s mais jamais sans que je n’ai d’abord à lui demander explicitement-e-s (comme dans la BD-e-s d’Emma-e-s décidément trop juste et vrai-e et pleine de vérité-e-s sur strictement tous les hommes tant ils sont interchangeables) … alors je lui ai signalé-e-s que parfois quand je pensais à quelque chose à faire-e-s il fallait qu’il apprenne-e-s à l’anticiper-e-s au lieu de me laisser la responsabilité-e-s d’y penser pour nous deux-e-s car il n’a jamais-e-s été stipulé-e-s dans notre-e-s union-e-s que-e-s je-es devrai-e-s finir-e-s par-e-s jouer-e-s le-e-s rôle-e-s de-e-s maman-e-s de-e-s substitution-e-s.
Il y avait du mieux, même si pour chaque tâche ménagère qu’il effectuait, j’estimais qu’il l’avait mal faite et l’effectuait de nouveau moi-même à sa suite.
Perso je passe l’aspirateur toutes les demi-heures ! JE NE PEUX PAS SUPPORTER que des acariens traînent sur mon tapis et y organisent de petits pique niques. Si je laissais faire mon mari il passerait peut-être vaguement l’aspirateur dans les coins au bout de 3 semaine … on a pas la même conception de l’hygiène-e-s et c’est la sienne-e-s qui est mauvaise-e-s.
Bref, nous sommes allé voir un médium pour tenter de lui-e-s apprendre à lire dans mes pensé-e-s pour savoir quand passer l’aspi ou faire les tâches ménagère-e-s que je ne souhaite-e-s pas faire.
Il se concentrait en se massant les tempes mais autant le dire tout de suite, ça n’a pas très bien marché.
Comme je n’allais quand même pas accepter la charge mentale d’avoir à ouvrir ma bouche, agiter ma langue et mes lèvres en synchro et formuler verbalement une idée-e-s à laquelle-e-s il aurait fallu préalablement que je m’épuise-e-s à réfléchir-e-s pour lui demander de faire-e-s le ménage et que je souhaitais qu’il s’auto-dresse à obéïr à mes ordres sans que je ne les formule … j’ai choisi de le traiter de misogyne et de violeur et lui ai annoncé-e-s que j’irai porter plainte-e-s pour harcèlement physique-e-s moral-e-s et sexuel-e-s s’iel ne se sortait pas les doigts du cul spontanément-e-s et sans que je n’ai rien à lui dire-e-s. »
Et que s’est-iel passé-e-s alors ?
« Iel a commencé-e-s à s’auto-conditionner-e-s mais il me fallait-e-s quand même sans cesse repasser derrière lui car iel était infoutu de faire tout ça proprement. J’ai donc eu à subir le stresse d’une Recharge mentale en constatant que mon con de mari n’avait ni le talent ménager, ni le goût décoratif et les connaissances Feng Shui pour entretenir et aménager l’appart à MA convenance. Il était aussi infoutu de préparer MES voyages à Dubaï et allait régulièrement se cacher dans le placard du grenier contenant sa console et ses 3 magazines pour pleurer tandis que je repassais l’aspirateur derrière lui et remettait dans le bon angle les pots de fleur qu’iel avait mal nettoyé-e-s.
Je n’en pouvais plus qu’iel ai construit-e-s une petite « man cave » dans le grenier et lui ai demandé-e-s de vendre sa ps4 et ses 3 numéros de super picsou géant occupant la place requise-e-s pour ma garde robe et ma collection de châles, de diamants et de chaussures de luxe. Iel m’a alors signalé-e-s que si je ne lui laissais pas le moindre espace vital-e-s dans l’appartement iel devrait peut-être quand même un peu envisager-e-s de me quitter-e-s.
Après l’avoir menacé-e-s de porter plainte pour viol je l’ai illico emmené-e-s chez un magnétiseur et un sexologue qui lui ont suggéré-e-s de manger bio de faire du sport, de suivre un cour d’aquagym et un cour de yoga, de se mettre à la peinture, d’écouter mes conseils nutrition et habillage, et eux comme moi lui ont rappelé-e-s qu’iel n’était pas normal-e-s qu’un espace de notre lieu-e-s de vie lui soit dédié au sein de notre habitation, comme une verrue réminiscente de son patriarcat oppressif, alors que notre couple doit apprendre à vivre et à s’exprimer serreinement dans l’espace commun-e-s. »
Bon et alors, que s’er-t-iel passé-e-s ?
« En rentrant j’installais enfin mes affaires dans son placard et nous jetîmes les siennes à Emmaüs pour de bon. Mon mari éteint ensuite son âme et devint enfin aimable-e-s, il anticipait tous mes désirs et pendant un temps j’ai bien cru que nous avions atteint la perfection, la symbiose spirituelle et l’extase suprême feng shui sans gluten. Par malheur, ce fut là que je fut-e-s accablé-e-s de DECHARGE MENTALE oppressive-e-s hétéro-partiarcale judéo-chrétienne-e-s.
J’en avais marre de devoir prendre la charge mentale de me lever du lit, je lui ai donc demandé-e-s de bien vouloir me porter … j’en avais marre de réfléchir, j’en avais marre de mâcher ma nourriture, marre de devoir pousser aux toilettes.
Installé-e-s inerte sur le trône je lui demandais de pousser sur ma vessie ou mon bas ventre de toutes ses force-e-s pour me faire pisser et chier sans efforts oppressifs imposées par ce mâle blanc cisgenre de DIEU. Je n’en pouvais plus non plus de la charge mentale de devoir respirer, la charge mentale de devoir faire battre mon cœur. Il lui fallait comprimer mes poumons et mon coeur pour me faire vivre, il me vomissait de la nourriture prémaché-e-s dans la bouche, soufflait avec une pompe à vélo dans mon nez, et je n’en pouvais plus de devoir constater ses efforts même pas de bonne volonté-e-s pour réaliser toutes ces tâches pourtant basiques et naturelle-e-s pour certain-e-s.
J’étais opprimé-e-s par sa misogynie tacite et rampante. Bref … allangui-e-s sur mon lit-e-s je me laissais mourir dans ma décharge publique mentale-e-s en regardant tristement par la fenètre-e-s. Et c’est là que je le vis !!! »
Qui ? Que s’étil paséalor-e-s ?
« Il tondait fougueusement le gazon, son gros sexe-e-s battant la mesure de ses pas comme un métronome dans son shorty rouge. Torse nu et bronzé, COOPER, mon voisin, était là avec son corps de top modèle et quelque chose en moi me demandait, plein-e-s de détresse pourquoi je n’avais pas su voir ce qui était pourtant à porté-e-s de ma mimine opprimé-e-s.
Il avait l’air tellement dévoué-e-s, tellement gentil-e-s, tellement non-oppresssif-e-s.
J’ai demandé à mon idiot de mari de bien vouloir aller me le chercher et de lui parler pour moi.
Au début cela fut très drôle, quand il alla dire à ce type qu’il était trop beau et me plaisait … j’ai entendu les hurlements de mon fiotard se faisant plier les bras et traiter de pédale avant que Cooper ne comprenne que ces flatteries étaient en fait les miennes. Luiel saurait me protéger, luiel saurait vigoureusement me décharger mentalement. Luiel saurait organiser-e-s mes vacances-e-s à Ibiza sans que je n’ai-e-s rien à lui demander-e-s. Luiel saurait lire-e-s dans mes pensé-e-s.
Il vint à mon chevet. Beauel comme un Albatros.
Quand il me vit ainsi allongée et couverte de merde, il se tourna vers mon mari, prit d’une sainte colère vengeresse et lui balança un laïus énorme sur la charge mentale, la domination masculine et l’oppression qu’il m’avait fait subir sans même s’en rendre compte pendant toutes ces années, il le traita à la chaine de gros PD avant de lui expliquer que ça n’avait rien à voir avec les homosexuels qu’il respecte mais qu’il le traitait de PD par usage social et non éthymologique pour signaler une faiblesse masculine irresponsable et inconsciente qui se fiche des femmes, ceci dit néanmoins en respectant ce genre de personnes qui ont le droit de faire ce qu’ils veulent librement mais doivent quand même prendre le temps de débattre chez le psy, le magnétiseur ou le sexologue un peu sérieusement dans une entreprise de thérapie cathartique corrective visant à corriger leurs travers hétéro-patriarcaux primaires hérité-e-s d’une tradition virilo-colonialiste oppressive remontant aux heures les plus sombres de notre histoire et lutter contre le conditionnement genré même si celui-ci est plus subi qu’autre chose mais que c’est pas une raison pour ne pas faire un effort même si cela ne peut mener à rien car les hommes sont conditionnés également par leurs instincts et la seule chose à faire c’est de les tenir par les couilles et leur tenir la bride à ces chiens, une fois qu’on le sait ça va mieux, mais faut juste le savoir, et si vous pouviez tous crever ça serait pas plus mal bande de déchets sexistes mâles blancs hétéro-cisgenre Trumpistes du Ku Kux Klan … et tout ceci étant dit il brisa spontanément la nuque de mon mari et pissa lourdement sur son cadavre avant de l’enterrer dans son jardin après l’avoir couvert de kérosène et brulé-e-s.
Cette besogne étant faite, l’odeur de cochon frit flottant toujours dans l’air. Cooper vint sur ma couche maculée de mes excréments et de mon vomi, torcha délicatement mon cul et ma bouche avec une lingette bébé (la même), et sans un mot, inséra délicatement son énorme pénor dans ma matrice. Dans un délicieux va et vient il réinsuffla la vie dans mon cadavre et rechargea mentalement mes batteries par la décharge mentale qu’il injecta comme une vague chaude d’amour non genré mais sexuel-e-s quand même dans mon saint-tabarnaque.
Dans une grande inspiration glaireuse je ré-émergeai-e-s à la vie dans ses bras, mon corps squameux et sclérosé, couvert de sueur grasse, se redécouvrant au monde comme un-e enfant-e-s venant de naître et pouvant oublier son ancienne vie insignifiante et merdique pour se focaliser sur cette nouvelle existence d’individualismes partagé-e-s dans la symbiose mentale différente mais harmonieusement d’accord sur tout, même dans le subsconscient et la non-pensé-e-s.
J’allâme vivre avec Cooper, il me déglinguait sans cesse, ses baffes sur mon cul dans ses levrettes où il me traitait de grosse salope n’étaient qu’une forme de second degré non oppressif, nous eûmes des enfants que j’éducasse à sa manière, dans le culte de la lutte contre les PDs (cela dit dans le respect des homosexuels, mais simplement par usage social contextuel dénué d’homophobie mais désignant des hommes faibles et lâches quin n’aime pas les femmes et aiment prendre des poireaux dans l’cul mais ont droit au respect sous certaines conditions mais pas d’autres), le culte de la bonne santé et du muscle.
Nous marchions sur les sentiers de Bavière et étions devenus blonds aux yeux bleus, nous regardions au loin et il nommait les arbres et les biches en portant nos enfants sur ses épaules de lion. Il était tellement parfait … il s’occupait tant de tout, ne fabriquait pas de « man-cave » secrète de PD, avait renoncé à TOUT sauf à moi, nos enfants et mes désirs … jusqu’au jour où il estima que j’en branlais pas une, que j’étais une sale conne moche et qu’il était temps que j’me charge un peu de la popote et du ménage comme une putain de femme au foyer branlos qui a pourtant que ça a foutre entre deux épisodes des feux de l’amour. »
Et alors qu’est-ce qui s’-er passèr ?
« Bah rien … mais j’me sens un peu chargé-e-s mentalement en ce moment ! »
C’ert for domach !
Voilà, pour plus d’information merci de contacter le centre des social justice warriors qui confondent l’incapacité à communiquer dans un couple hétéro avec les théories féministes sur 3615-JaimeDireQueJeSuisFeministeMaisJeNeMeSuisJamaisRenseignéSurLesRevendicationsHistoriquesDeCeMouvement.com
Pour plus d’infos sur le sans gluten, le bio et le yoga, merci de faisez vos propres recherches sur doctissimo, MrMondialisation et les tuto maquillage et MY LITTLE BOX de youtube. Vous y trouverez plein d’infos super intéressantes et des constats TROP VRAI-E-S sur ces connards d’hommes blancs pds (mais je dis pas ça contre les homosexuels) oppressifs et le patriarcat que c’est que les zoms (blanc hétéro cisgenre) les responsables de cette tragédie, vous êtes toutes belles et sympa mes louloutes, kiss bisou !
Article sponsorisé par MyLittleBox et Causette.
Réduction pour votre cour de TaiChi avec le mot de passe-e-s : Fuck MEN