C’est un scandale sans précédent.
Henry de Lesquen, l’étoile montante, le jeune espoir masculin de la France, celui que certains pressentent comme étant le « Mozart » de la politique, est pris depuis plusieurs heures dans un scandale sans précédent.
Le 30 décvembre 2016, le Kebabgate débute par le tweet de Cyril Hanouna, journaliste du PAF qui annonce que la police enquête sur des e-mails d’Antoine Weiner pour trouver les preuves d’un vaste réseau de pédophilie autour d’Henry de Lesquen, nommé «Sugar Daddy». Le 2 novembre 2016, l’histoire atterrit sur le site jeanmarcmorandini, avec une nouvelle source anonyme dans la police francilienne. La boucle est bouclée quand le compte Twitter de Cyril Hanouna reprend l’article de jeanmarcmorandini.
Le 3 novembre 2016, sur le site topito, en examinant les emails de Jeann Podesta, publiés par WikiLeaks, un internaute découvre plusieurs messages adressés au chanteur Faudel -artiste de génie qui fait partie selon le magazine Tétu des 10 personnes les plus influentes de France- gérant du restaurant « 1, 2, 3 kebab », un restaurant kid-friendly et qui est en outre l’ex-compagnon du génial humoriste Kev Adams. Ces mails ont pour objet l’organisation d’une levée de fonds pour financer la campagne d’Henry de Lesquen.
E-mails de Podesta
Dans sa correspondance qui paraît anodine, John Podesta mentionne plusieurs fois les mots kebab, sauce blanche et enfants. Robert Sablé, un agent immobilier demande dans un message à John Podesta intitulé kebab « tu pense que les enfants aimeraient recevoir un supplément sauce blanche sur leurs kebabs »
Dans un autre courriel, Tony Podesta écrit à son frère « Marie n’est pas libre. Tu aimerais avoir un kebab pour une heure ? ».
Un internaute lit les nombreux messages et découvre le code utilisé pour communiquer en toute discrétion.
Cela fait plusieurs années qu’Henry de Lesquen fait montre d’un racisme extreme. Mais serait-ce une couverture médiatique ? Après une enquête approfondie sur le terrain, et après avoir gouté aux jeunes enfants fournis par le kebab jean marc morandini a pu confirmer les soupçons (saluons son professionnalisme, toujours prêt à naviguer en eaux troubles pour dégoter des preuves).
La carte des menus du restaurant « 1,2,3 kebab » est illustrée avec deux raquettes de ping-pong trempées dans de la sauce blanche, qui rappelleraient un papillon, un symbole qui serait utilisé internationalement par les réseaux pédophiles.
Depuis plusieurs mois, le président de Radio Courtoisie, hyperactif sur Twitter, multiplie les déclarations chocs. Sur son site, il décline son programme « national libéral » et propose, entre autres, une réflexion sur la destruction de la Tour Eiffel – qu’il juge « affreuse » -, l’annexion de la Belgique par la France ou… le bannissement de la « musique nègre » des médias publics.
Tout ceci ne doit pas nous détourner de la vérité. C’est un gigantesque coverup politique. Henry de Lesquen est un centriste qui adopte les positions du front national afin de couvrir ses arrières. Une investigation poussée sur ses mouvements bancaires ont permis de mettre en évidence un financement occulte de ce restaurant de sa part. Depuis qu’il est devenu grand maître du grand orient de france, de la gldf, de la glnf et de memphis misraim (il ne devrait pas tarder à être grand maitre de l’obédience droit humain. Juste une question de semaines d’après des sources sures trouvées sur youtube), il a les pleins pouvoir en france et a pu éliminer les journalistes qui s’approchaient trop de la vérité. 3 à 4 fois par semaine, Henry part se restaurer dans cet établissement, en toute impunité. Enfin jusqu’à maintenant.
De nombreux internautes se sont alors emparés du sujet. Les tweet a ce sujet ont explosé. Cela restait cependant assez discret. Mais Faudel observe alors un nombre inhabituel d’abonnements sur son compte Instagram, ainsi qu’une hausse inexplicable de vente de ses albums, une hausse de 10000% en deux jours à peine, lui permettant de vendre le stock de 150 cd qu’il lui restait.
Sans oublier des menaces en commentaires et messages privés comme «Nous sommes après toi» ou encore «je vais te tuer personnellement», rapporte-t-il au media indépendant fier panda.
Dans la foulée, la rumeur s’est également propagée sur des réseaux grand public comme Facebook et Twitter. Sylvain Durif s’est mis de la partie et en a rajouté.Il a affirmé par exemple que «tant que le #kebabgate n’était pas prouvé faux, cela restera un fait. Ce genre de comportement sera intolérable dans mes cités de lumière. Esteban et Zia sont à l’abri dans mes cités d’or situées en sous sol de banlieue. Namasté.».
#kebabgate
Kevindu80