un photoreportage qui en dit long… et puis c’est mieux quand y’a pleins d’images.
- Aux origines de la dinastie : la stérilité de Fred.
Feux Fred Trump, le père, décédé dans les années 1990, portait un lourd secret : si Hitler has only one ball, lui has not at all. Il était tombé fou amoureux d’une américaine d’origine écossais, Mary Anne McLeod, au point de vouloir le meilleur pour elle. Il était fou d’elle ; admiratif de sa beauté, il voulu tout faire pour elle. C’est alors que son passé rentre en compte. En effet, Fred avait pour habitude de répéter qu’il était d’origine suédoise, mais queneni : Trump était d’origine allemande, et il avait tissé des liens…
En effet, au sortire de la Seconde Guerre Mondiale, la plupart des scientifiques allemands ont été « blanchis » (façon de parler…) de leurs expériences dans les camps, et ont été embauché dans le projet Paperclip : ils sont devenu de braves chercheurs américains.
Or, Fred était ami avec Heinrich Bildenberr, qui était… généticien. Alors se produisit l’improduisable… Ce que l’on croit toujours impossible aujourd’hui avait pourtant déjà été mis au point pendant les années noires. Le clonage, et la modification X/Y finale (je peux pas vous l’expliquer, c’est un peu dur) était déjà maîtrisée.
Et Fred voulu que ce soit sa chère Mary Anne, et non lui, qui soit clonée, fou de sa beauté, de son intelligence, et de son art sans limite de la maîtrise de la laque.
- Premiers clonages, premiers ratages, premières réussites.
Le clonage commença facilement : Mary Anne fut clonée et donna naissance à Maryanne (qui ne voit toujours pas le clin d’oeil?), à droite sur la photo. Le clonage était parfait. Maryanne était la copie conforme de sa mère.
Mais Fred voulait un héritier. Il fallait donc modifier X/Y (puisque je vous dis que je ne peux pas vous expliquer mieux, je suis pas scientiste, moi). Fred II fut un échec cuisant, ainsi que Frederic Jr.
Et il naquit, le divin enfant. Certes un peu trop orange, mais il naquit tout de même. Destiné à Make America Great Again, And also My Wallet.
- Lebensborn 1 : « Ivana »
A son tour, Trump décida de fonder une famille, mais cette fois en se clonant lui-même, et en utilisant des jeunes femmes blondes comme utérus portatifs. Depuis le temps, les techniques du bon docteur Bildeberr s’étaient améliorée, et le résultat physique s’avéra plus satisfaisant. Le chef d’oeuvre de L1, que le gotha connait sous le nom d' »Ivana », reste sans conteste « Ivanka ». Car, comme nous le verrons plus tard, les desseins de Trump quand à sa fille étaient déjà fixés.
Ivanka devint vite la fille chérie de son papa. Mais elle ressemblait trop à son père. Une subtile chirurgie esthétique permit de la faire ressembler plus à son utérus d’origine, tout en gardant les mêmes gênes que son géniteur (gène, géniteur, ça va ensemble, c’est normal). Son papa aimait beaucoup la photographier dans son bain, collectionnait ses petites culottes… Bref, c’était la petite princesse, l’héritière présemptive.
Car les deux mâles issu de L1 donnaient du fil à retordre à leur père. Tout dabord, « Donald Jr » avait fait un sale coup à son père : né blond, au fil des années, il était devenu brun… (souvenez vous de la mésaventure de Frederic Jr, c’est éclaircissant). Ensuite, il n’était pas du tout de la trampe de son père : il fut tout juste bon à se reproduire en masse avec L+N1 (cinq mioches au compteur, toujours des clones), une blondasse dont tout le monde a oublié le nom – ou pas demandé.
« Eric » eu le bon goût d’être blond – et de le rester. Mais c’est bien tout ce qu’il fit pour son père. Attardé profond, Eric est préposé, dans la Trump Tower, à classer par ordre alphabétique les dossiers qui partent ensuite à la broyeuse.
A noter tout de même que Donald Jr sera peut-être en charge de l’environnement (et du complot chinois du Gieque à déjouer, tout comme la caupe 21), mais Eric devrait rester à un poste similaire à la Maison Blanche que celui qu’il occupait déjà dans le business paternel.
Eric n’a même pas eu la politesse de se reproduire. Ou plutôt, de se reproduire proprement avec sa L+N1. Le bon docteur Bildenderr étant mort, la tentative fut… raté! D’où la nouvelle orientation du millionaire président…
- Lebensborn 2 : « Marla »
Fatigué de son L1, Trump la troqua contre une L2, qui ne dura pas longtemps. En effet, les implantation se déroulaient mal, et sur les 32 tentatives d’implantation une seule réussie, celle de Pouffina Tiffany. Tiffany. Une f
ille! La seule qui avait été réussit, était une fille! Comment rattraperait-elle la médiocrité de ses frères (gné)? De plus, il avait déjà la fille idéale, Ivanka! Il se murmure que la « Marla » initiale fut sacrifiée lors d’un rite satanique propre à la famille Trump (nous y reviendrons dans un autre article) et remplacée par une autre vieille cougar lui ressemblant vaguement… A ce moment, Trump blâma le brave docteur Bildenberr. Ce dernier faillit être balancé au Mossade (il ne faut pas oublier que Trump entretient de très bonnes relations avec Israël et les sionisses)… Mais sa dernière grand’oeuvre lui permit de se retirer dans sa villa de Bariloche.
- Lebensborn 3 : « Melania »
Le parfait clone n’avait toujours pas vu le jour. Trump se trouva donc une L3 dans l’espoir d’avoir enfin un héritier à sa valeur. Il ramassa une énième pin-up écervelée – après tout, seule l’utérus comptait – proposée par le Dr Bildenberr, la petite fille de son ami le Dr Knauss, spécialiste de la création de siamois à partir de simples jumeaux. Et L3 donna entière satisfaction, au point de la présenter au rang de first lady, au lieu de celle que tout le monde attendait, L4 (sustense).
Elle ne le déceva pas. Enfin, le fils naquit. Le mini-moi. Il voulait l’appeler Prince, mais s’était déjà pris. Alors, ce fut Barron. C’est difficile, Barron, comme nom. Mais cela reflète bien l’état d’esprit de ce petit brin d’homme de dix ans à peine.
- La mort du bon docteur Bildenberr et le changement de stratégie : L4/L1+2
Une fois que le brave Heinrich décéda, à l’âge de 93 ans, dans son hamac de sa villa de Bariloche, un verre de Mum à la main, il fallut procéder à une nouvelle stratégie pour continuer à essaimer les Trump à travers la planète. Vous n’avez pas pu la louper. En pratique, ce n’est pas du clonage, mais puisque L4 est déjà le clone de Trump, le bagage génétique reste strictement le même…
je vais prendre une aspirine et je reviens.
Je cesse de m’étendre. Cette nouvelle stratégie, celle qui a fait passer le nombre de clones de D. Trump de 6 à 9 clones, vous l’avez eue devant les yeux. Vous n’avez pas voulu voir. Mais vous êtes sur Mes Propres Recherche. Alors, à vous d’en tirer la conclusion.